L’acte politique d’après Arendt, peut aussi bien conduire à une répétition mortelle qu’à une création. Pour le suicide, nous tombons sur une double division pour l’acte.
La fausse distinction entre un suicide qui échoue et un suicide qui réussit, renvoie à la différence entre un acte répète l’existant, qui reproduit sans modifier les choses, qui ne change rien, et un acte qui prend une signification nouvelle, un acte créateur de signification susceptible d’une reprise dans l’opinion publique, d’un changement dans le discours, un acte qui a un effet de signification valable pour tous. C’est-à-dire, un acte qui a une portée politique. Continuer la lecture de « D'un acte qui ne soit pas politique ? »