Les deux appels de l’acte : inédit et pensée
Arendt cherche surtout une définition de l’acte qui ait une portée politique. Nous cherchons à en voir l’intérêt pour le suicide.
Politique ?
C’est-à-dire qui touche à l’universel, nous concerne. Non pas une partie des hommes, une faction, un groupe politique, une classe sociale ou une individualité, un Roi, un tyran, un leader. Une action politique qui pourrait atteindre tous les hommes et les mobiliser. En ce sens, elle porterait au-delà de l’individu qui en est l’auteur. C’est tout le paradoxe d’un acte particulier dont les effets seraient universels.
A ce niveau, la recherche d’Arendt ne serait-elle pas une utopie ? Continuer la lecture de « Les deux appels de l’acte : inédit et pensée »
Sourire ou mourir !
Rien n’est réel,
rien n’est vrai,
tout est pensée,
il suffit de travailler les expressions de son corps,
il suffit de penser autrement pour que la réalité change,
etc….
c’est du délire !
Voilà l’essentiel de la pensée positive, bien plus répandue qu’il n’y parait. Cette idéologie du bonheur à tout prix mène les hommes à leur perte.
La vidéo de Barbara Ehrenreich ci-dessous l’illustre à la perfection