Cousteaux et Pan Ke shon ont étudié la question de la sexuation dans le suicide[1]. Leurs outils étant essentiellement épidémiologiques et statistiques, is prennent leur départ du livre princeps de Durckheim. Mais, la question vaut d’être posée. Leurs observations sont utiles car elles montrent la dimension sociologique de la question du genre pour le suicide. J’en retiens l’idée essentielle que la typologie sexuelle est fortement marquée dans ce domaine.
La question posée est celle de savoir pourquoi les hommes se suicident-ils plus que les femmes ? Continuer la lecture de « Le mal-être a-t-il un genre ? »